N°80 – Décembre 2010

NUMERO EN RUPTURE DE STOCK

AU SOMMAIRE

  • Nouvelles de l'Unapaf
  • Photos de lecteurs
  • Incontournable de l'hiver
  • Comment freiner le frelon asiatique
  • Piégeurs espagnols

EDITO

Aujourd’hui en 2010, aucun être humain digne de ce nom ne peut rester insensible à la destruction programmée de la vie sur terre si l’on continue à consommer plus qu’elle ne peut nous donner.

Du fait de la surpopulation, les éléments indispensables au maintien de cette vie, sont menacés sinon de disparaître mais au moins de diminuer fortement en quantité et en qualité.
Il faut donc tout faire pour maintenir cette quantité d’éléments utiles mais aussi leur qualité. Avec les moyens dont dispose la science d’aujourd’hui, on peut nous aider à y parvenir mais aussi à progresser. Cependant si nous continuons à nous laisser leurrer par ailleurs par toutes sortes de parasites bien à l’abri, pour leur plus grand profit, sous la bannière de l’écologie ; alors nous sommes perdus !

L’écologie oui, l’escroquerie organisée par la publicité outrancière des grands trusts industriels et de l’alimentation dans le seul but de tirer des profits toujours plus colossaux, tout en ce moquant éperdument de l’avenir de ceux qui meurent de faim et bien non.

Les profiteurs de toutes sortes qui se servent du mot écologie, rassemblés en associations au caractère sectaire, visant à organiser l’endoctrinement des masses, à tirer de leur crédulité des profits considérables, à installer une véritable dictature « verte » afin de faire pression sur les gouvernements légitimes élus par le peuple, dans le but d’éliminer tous ceux qui ne sont pas en accord avec leur doctrine négativiste.

Et bien non aussi à ces usurpateurs du mot Ecologie, dont certains radicaux libres, organisent des actions inadmissibles dans une République comme la nôtre. Il faut absolument rejeter toute idéologie radicale, c’est le cancer des démocraties.

Heureusement dans notre quotidien nous rencontrons beaucoup de gens sérieux soucieux de respecter ce qui les entoure, de respecter les autres humains, mais savent aussi repérer ceux qui mijotent de sombres pensées à l’égard de notre qualité de vie à la campagne. Cette qualité de vie que nous sommes convaincus de maintenir pour le bonheur du plus grand nombre qui va dans le sens de la biodiversité, de l’économie des ressources de tous genres, vivantes, nourricières du respect de la nature mais aussi d’en assurer l’équilibre en régulant les déséquilibres.

Je fais partie de ceux que l’on voudrait éliminer, je suis chasseur, piégeur, jardinier, éleveur amateur, tout cela gène le grand profit, les planificateurs et les mercantiles de tous genres. J’ai des amis qui sont inscrits au parti écologiste même des responsables locaux, mais des gens qui ont les pieds sur terre, de dialogue, qui ne visent pas l’élimination des activités de personnes même s’ils ne les pratiquent pas, ce sont des braves, des pionniers. Ils font partie de ceux qui veulent nous sauver tout en respectant nos sensibilités et nos activités qui n’ont jamais nuit à personne.

Ceux là aidons les, ils marchent à nos côtés je les respecte, ils me respectent.
Ne les confondons pas.

Daniel BERNEAU
Président de l’Association des Piégeurs du Cher.

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